Kit presse et contacts

Pour organiser des projections près de chez vous ou pour toute question sur le film : flammes.prod(at)gmail.com

Le contact de la réalisatrice : annasalzberg(at)yahoo.fr

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Dossier de presse

Sélections en festivals 2022-2023

Doclisboa (Lisbonne, Portugal), Corsicadoc (Ajaccio), les Inattendus (Lyon), Festival Films Femmes Méditerranée (Marseille), Echos d’ici Echos d’ailleurs (Rabastens), Rencontres de cinéma Terra Nostra (Cévennes), les Cinéclectiques (Gray), festival Millénium Bruxelles, International Women Filmmakers Festival à izmir (Turquie), festival Diversité (Bourgogne-Franche Comté), Porto Femme International Film Festival 2023 (Portugal), Frame-Out Open-Air, Wien (Autriche), Grand prix du Festival du cinéma social de Nice, Festival Bobines de femmes de Lanloup.

Bio

Anna Salzberg est cinéaste. Elle fait des films-essais, parfois courts et plastiques, parfois longs et documentaires. Elle aime mélanger les genres et travailler le support de la pellicule super 8 et 16 mm. Elle fait également de la création sonore et de la radio.

Anna a étudié les sciences sociales et les sciences politiques. Elle est filmeuse, preneuse de son et monteuse son. Elle a aussi réalisé des documentaires sonores pour ARTE Radio. Elle est membre des laboratoires artisanaux l’Etna et l’Abominable, où elle travaille les supports argentiques du super 8 et du 16 mm. Elle fait partie des Scotcheuses (collectif de cinéma qui fabrique des films en super 8 sur des lieux de lutte, comme à la zad de Notre-Dame-des-Landes et à Bure), et de différents collectifs féministes (la Poudrière, les Bombes atomiques). Son premier film, Malaises, co-réalisé avec Eléonore Merlin, s’intéresse aux féminismes musulmans en Malaisie. Puis elle réalise une série documentaire radiophonique, La sage-femme, sur une sage-femme en milieu rural, en Picardie (ARTE Radio). Son précédent film, On ira à Neuilly inch’allah, co-réalisé avec Mehdi Ahoudig, a obtenu une mention spéciale au Festival Traces de vie (Clermont-Ferrand), la mention Graine de Doc au Festival Doc en courts (Lyon) et a été diffusé dans de nombreux festivals internationaux. Le jour où j’ai découvert que Jane Fonda était brune est son premier long-métrage documentaire. Anna écrit un livre pour prolonger son film, dessine une bédé sur les conflits dans les collectifs avec son amie Delphine, mène des ateliers de cinéma avec des personnes âgées habitantes d’Ehpad, des prisonniers, des lycéen.ne.s, des enfants, et filme parfois des documentaires pour la télévision.

Flammes a pour but de soutenir la création, la production et la diffusion de films, ainsi que toute oeuvre faisant intervenir l’image et le son. L’association est née en 2017 du désir de trois ami·e·s réalisateur·ice·s Manon Ott, Grégory Cohen et Anna Salzberg, de s’épauler et de gagner en autonomie dans la fabrication de leurs films. Flammes a co-produit La cour des murmures, de Grégory Cohen (2017), De cendres et de braises, de Manon Ott (2019), et Le jour où j’ai découvert que Jane Fonda état brune, d’Anna Salzberg (2022). L’association développe actuellement 2 longs-métrages documentaires : Par delà les montagnes, de Grégory Cohen et Manon Ott, sur les luttes à la frontière franco-italienne, et Les filmeuses d’Anna Salzberg sur le cinéma amateur féministe.

Iels ont aimé – revue de presse

TRAVAIL ETUDIANT SUR LE FILM

Deux étudiant.e.s en cinéma de Rennes 2, Aurore Meï et Corentin, ont étudié Le jour où j’ai découvert que Jane Fonda était brune et voici le résultat de leur travail. Merci à elleux !

Retours de spectateurices

Magali : « Anna, j’en profite pour te transmettre un très grand merci pour ton film qui m’a fait beaucoup de bien à plein d’endroits !

Ton film,  quand je l’ai vu y a quelques mois maintenant, m’a fait un fort effet, j’en ai eu des larmes d’émotion et de gratitude à la fin (fin que je suis incapable de me souvenir par ailleurs!). J’ai adoré la forme avec ces intermèdes chantés avec ces femmes que j’ai supposé être des amies de ta mère. En général, j’ai vraiment du mal avec les films (ça fait toujours bizarre quand je dis ça vu mon métier dans le cinéma, mais c’est vraiment vrai), je dis souvent aux gens qui font des films autour de moi d’arrêter d’en faire pour voir ce que l’on pourrait faire d’autre ; et puis parfois, je tombe sous des coups de grâce, où je suis rassurée de voir qu’il y a des films qui nourrissent véritablement et qui dépassent largement leur synopsis en nous traversant, c’est le cas de ton film pour moi, qui est une aventure belle et plus grande que toi . Alors par exemple, cela m’a fait me sentir moins seule dans mon rapport étrange/étranger avec ma mère, du moins avec des choses que je ne saisis pas non plus, tout en étant très différentes de celles profilées dans ton film. J’ai été émue par la ferme douceur, déterminée et déterminante, présente entre les générations pour se comprendre, comprendre les choix ou non-choix des unes et des autres. En terme d’émotions nourricières, j’ai été servie et je ne m’y attendais pas, ce que tu m’as fait ressentir dans ton film est beaucoup de ce que je recherche dans mes liens avec les autres, tout genre confondu, et je me suis pris vraiment une vague de sororité dans l’âme qui m’a bien refaite! :))

Amitié-soeur »

Mathilde : « Merci pour ton film. Merci pour le cinéma. Merci pour les femmes. Merci pour moi ! 3 fois profondément mercis.
Ton film m’a beaucoup ému . Je le trouve très réussi. La réalisation, les images, les sons, le montage, c’est juste. Et si bien équilibré. Quel boulot ! Merci pour ton geste de cinéaste. Prendre une/des caméra et nous amener dans ton histoire et celles de femmes. Hé, pour moi tu fais maintenant partie de ces gens ( je ne mets pas de majuscule mais imagine qu’il y en ait une ) qui donnent envie de faire, de créer, qui anime, qui donne à aimer, qui passionne sûrement parce que iels sont passionné.e.s. Voir ton film me fait un bien fou. Voir défiler l’histoire dont, au fur et à mesure qu’elle est racontée, je m’impatiente de connaître la suite. J’ai aimé entendre cette histoire, la tienne. Comme tu la racontes. Et j’ai aimé entendre ces histoires. J’ai aimé être avec ces femmes. Les entendre chanter. Les entendre dire qu’elles avaient le sentiment de refaire le monde et elles l’ont fait. Entendre leur humilité à se demander si leurs récits ont aujourd’hui un intérêt pour les générations d’aujourd’hui. Entendre leur colère, leur déception, leur incapacité ou leur douleur à raviver le passé. Sûrement suis-je particulièrement touchée parce que je te connais mais je ne crois pas. Surement suis-je particulièrement touchée parce que ce sont des récits de femmes. Pas seulement. Ton film me renoue. C’est merveilleux. Je crois que si je suis particulièrement touchée, c’est que j’ai trouvé le film juste. Quand je dis juste, je veux dire que c’est beau, qu’il n’y a pas de prétention, que je sens un Amour IMMENSE , que je sens une JOIE majestueuse, vraie, sincère, du fond des entrailles, ancestrale, une force, une transmission et que ça, cet amour, cette joie, ce chant , cette inventivité, ce foisonnement, ces paroles, ces slogans, cette force, ces formes invitantes dont fait partie ton film , tout ça, ça me touche, profondément. Ton film me donne envie de faire des films. Ton film me donne envie d’être avec. Il me donne envie de partager tout cet amour et cette joie, de danser, de chanter, de faire des films, de monter des groupes, de créer des groupes, d’écrire. Ca met la pêche , c’est super ! Merci Anna. »

Par oÙ le film est passÉ